Il faut absolument que je te lise un extrait de ce livre, page 501,

Ce fut je ne sais quoi de formidable et de prompt, pareil à l'éclatement soudain du grand vase de la Colère. L'explosion enveloppa le navire avec un jaillissement tel qu'il sembla que quelque immense digue venait d'être crevée à l'avant. Chaque homme aussitôt perdit contact. Car tel est le pouvoir désagrégeant des grands souffles: il isole. Un tremblement de terre, un éboulement, une avalanche s'attaque à l'homme incidemment pour ainsi dire et sans colère. L'Ouragan, lui, s'en prend à chacun comme à son ennemi personnel, tâche à l'intimider, à le ligoter membre à membre, met en déroute sa vertu.